Les Jizô, moines au visage poupin et habillés de vêtements d’enfants sont plus précisément dédiés à la protection d’enfants mort-nés, victimes de fausse-couche ou morts en bas âge. Étant décédés avant l’heure, ils n’ont pas pu réaliser suffisamment de bonnes actions pour traverser le fleuve Sanzu et atteindre le paradis selon les préceptes bouddhistes.