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Après avoir été actif dans la culture skate des années 90, Léo Mordac découvre l’Esthétique pendant ses études de Philosophie (Paris-Sorbonne). Sous l’influence de Florence de Merdieux, il se passionne pour la peinture et les grands acteurs de la scène artistique parisienne. Dans les années 2000, il rencontre Alechinsky, Aeshbacher, Weisbuch et Rustin qui, tour à tour, l’encouragent à poursuivre ses explorations artistiques multiples.
Après un passage de quatre années aux Etats-Unis et au Canada, il tourne son regard vers l’art urbain et les réseaux sociaux qui lui donnent un nouveau terrain d’investigation.
Depuis maintenant quelques années, l’univers abstrait qu’il développe en atelier s’enrichit d’images et de références glanées sur les réseaux sociaux. L’immédiateté des images et le flux des informations suggérés par Facebook, Twitter ou encore Instagram se superposent de manière aléatoire et hypnotique sur l’espace physique de la toile. Pour Léo Mordac, les expériences digitales sont devenues la matière première à toute création artistique.
« J’aime l’idée qu’un outil comme internet forcément tourné vers l’instant et le futur puisse en même temps rassembler une banque d’informations et d’images qui deviennent quasiment des reliques ou des archives. »
« L’artiste travaille sur une série de #. Usant de la rayure même du tag et du graffiti dont l’essence historique est d’avoir une expansion “virale” sur tous les murs des grandes villes, Léo Mordac ici, se joue lui des # et donc d’une diffusion possible par le simple passant qui photographie son œuvre. L’œuvre alors partagée, devient automatiquement une œuvre largement diffusée. Il dit lui-même, expliquant sa démarche : “Graffitis et tags se sont toujours côtoyés sur tous les types de supports matériels.
Aujourd’hui, l’omniprésence des hashtags sur les réseaux sociaux reprend virtuellement cette même pratique. Mais qui a réellement pris conscience du lien qui unit les tags des murs réels aux hashtags des murs virtuels ? Vouloir laisser une trace sur les murs des villes ou s’assurer d’une cert aine audience sur les murs de Facebook, d’Instagram ou de twitter, ne concourt-il pas d’une même intention ? A présent, le prolongement du hashtag éphémère dans la réalité et de sa seconde vie virtuelle et éternelle, permet de brouiller les cartes et de prolonger le terrain de jeux…”
Collaborations : OX, AUREL RUBBISH, RERO, M. CHAT
MichaelI purchased some Samsofy prints from Anne-Lucie at Chromia this year and in doing so had some of the best customer experience I had for quite a while. From my initial query she was knowledgable, patient and guided me through what I would like. The prints arrived in absolutely perfect condition half way across Europe to me here in Ireland. It is always a concern when purchasing something like this that the item might not travel well. However both arrived in exactly the same condition as if I was walking out from her gallery with them under my arm. I would have no hesitation in buying again from Chromia nor would I hesitate to recommend Anne-Lucie to anybody who is reading this review. If I had to write a one word review about this experience, what word would I choose? Exceptional.Fabien VivonaDe superbes œuvres et de très bons conseils.Frédéric ElkaimExcellent accueil et processus créatif et professionnelSarah ZenMerci de m'avoir fait découvrir l'univers créatif de Samsofy et les angles vertigineux de Samir Tlatli!Nicolas GRILLETDes photos de qualité idéales pour décorer mes locaux avec des oeuvres d'artAhmed El MouafikSuperbe exposition d'art, qui vaut le détour et l'investissement sur des artistes locaux en vogue !Jean-Paul LachaudTrès pro, très réactif, des oeuvres qui sortent de l'ordinaire. Galerie d'Art à suivre ......Gwenaël BollingerDes photos de qualité dans de beaux écrins... bravo à Chromia !!NomaExpertise, passion, engagement, service, professionnalisme, sincérité.Évaluation Google : 5.0 sur 5, Basée sur 11 avis
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